l’air ambiant

Chers amis,

Faisons dans l’air ambiant : « la fin d’un cycle ».  Chaque âge de la vie connait ses cycles, ses rouages incontournables qui nous font évoluer, grandir, régresser… Peut-être arrivons-nous à une phase nouvelle de nos existences… peut-être pas. Mais au fond est-ce que cela a tant d’importance ?  Si nous sommes effectivement à l’aube d’une ère nouvelle, pourquoi ne pas déjà provoquer en nous les premiers balbutiements du changement ?       

Quittons le vieil homme qui nous habite et enfilons des habits de lumière ! Que risquons-nous ? Un peu plus de joie, de bonheur, de légèreté ? Et bien voilà qui donne de meilleures perspectives, non ? Et si pour une fois dans l’histoire de l’humanité, le même jour,  l’homme décidait de porter un regard positif sur ce qui l’entoure à commencer par soi-même et tous les autres. Glissons un peu de positivisme dans nos pensées, regardons nos proches avec sollicitude et compassion, redécouvrons les joies simples de contempler les lumières de noël, éclairons nos visages d’un large sourire, serrons chaleureusement les mains qui se tendent, levons les yeux vers le ciel étoilé de cet équinoxe nouveau…            

Il n’est pas question de faire de l’angélisme ou du mièvre, non, pour une fois soyons sincères. Mettons du vrai dans nos actes, dans nos pensées. Le monde n’en sera que plus beau. .. et si rien ne se passe et que, pauvres de nous,  le 22 nous nous retrouvons un peu penauds et hagards  de nous être tant appesantis sur la date du 21, et bien nous aurons toujours essayé de faire du neuf dans nos vieilles habitudes ! Les premiers bénéficiaires risquant d’être nous-mêmes, on ne perd pas grand-chose !

Je ne voulais pas quitter ce cycle sans vous envoyer un petit message optimiste et plein d’espoir pour les lendemains qui nous attendent, parce que des lendemains, il y en aura encore beaucoup et que quelque soit la situation du monde, il nous appartient de les enduire d’un baume de douceur. Ils seront ce que nous en ferons. Prenons-nous en charge, n’attendons pas de l’autre qu’il nous rende heureux ni des sociétés qu’elles nous apportent ce dont nous avons besoin, soyons ce que nous devons être là où la vie nous a placés avec cette part de responsabilité qui nous incombe. Celle de décider d’être heureux (ou pas) là maintenant tout de suite !

A tous, très heureux et joyeux 21 décembre et… bienvenue dans le nouveau cycle de la vie : la nôtre !                                                                          

Geneviève